"Le cours du clou de girofle a connu une grande hausse au début de la décennie et les petits producteurs du sud-est de Madagascar ont vu la richesse débarquer chez eux sans rien avoir eu à changer dans leurs pratiques. Depuis, le clou a de nouveau baissé mais de nouvelles habitudes ont été prises parmi les cueilleurs de girofles. Tapaza n’échappe pas à la règle. Comment s’en sortir quand le prix de son travail est décidé à des milliers de kilomètres ?"