« Tout commence avec la ligne.
Née serpentine, elle devient vague. Évocation incertaine de la mer, ce motif donne corps à la philosophie japonaise des arts martiaux pratiqués par Gwilherm Courbet. Navigation intérieure à la recherche du lâcher prise, à la manière d’un voyage ce n’est pas la fin mais bien le cheminement qui importe.
Le laisser aller est une invitation à vagabonder. Les lignes recouvrent, imprègnent et marquent les supports.
Laisser advenir la pratique la fait évoluer autant que l’artiste, qui peaufine toujours davantage la porosité entre arts martiaux et arts visuels. »
Cassandre Vereecke
http://www.gwilhermcourbet.com/