Variations picturales.
La terre va mal. Les villes se transforment en immenses mégapoles ; la globalisation fait que les humains se ressemblent de plus en plus et s’échappent dans le virtuel pour échapper à une réalité difficile.
Cette réflexion est le point de départ de l’exposition de Henri Traforetti.
Les œuvres présentées sont un plongeon poétique, un miroir tendu vers l’homme oublié ou perdu dans le labyrinthe du monde moderne. Le peintre raconte des histoires à partir de rencontres, de gestes, de silhouettes, de la relation de l’individu avec la terre mère.
Il montre l’espoir avec des couleurs vives, la rondeur des traits de ses personnages, la symbiose entre l’humain et la terre dans un nouvel hymne à la vie, ou l’arbre surgit comme une promesse.
Peintures, dessins, réalisés à l’aquarelle, à l’encre, à l’acrylique, et pastels proposés en différents formats, ces œuvres nous interpellent.